Le sadique

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il y a 10 ans

Entravée nue, debout avec un bâillon bouche ouverte qui la fait horriblement baver, Karine ne peut bouger d’une pouce ni même des pieds. Ils sont fixés fermement dans le plancher de bois par des supports métalliques lui bloquant les chevilles jambes écartées.

Sa magnifique poitrine est bloquée dans un carcan comprimant ses seins. Ses tétons n’ont pas été oubliés par le sadique, des pinces à sein dont les tampons ont été retirés les comprimant fermement mais sans excès. La variable perverse est tout autre, un patch d’électrostimulation est attaché à chaque une d’elle.

Le sadique n’a pas oublié son intimité, bien loin de là. L’abominable plug cadenassable logé dans son fondement s’ouvre à l’intérieur de l’anus comme une fleur. Si l’ouverture interne de ce plug en interdit le rejet, elle a pour effet de générer l’impression que l’on va déféquer et pousse sur le sphincter. Là aussi, un patch d’électrostimulation est scotché à la partie extérieure.

La machine à baiser

Son sexe n’a pas été épargné. Entre ses jambes maintenues tendues et écartées, une machine à baiser placée en position verticale maintient profondément logé en son vagin distendu, un gros gode prêt à officier dès que le sadique l’aura décidé.   Le petit bouton magique féminin n’est plus caché au fond de son écrin, le sadique ne l’a pas oublié. Une petite pince placée juste derrière son clitoris si sensible le fait émerger malgré lui. S’il pouvait parler, il vous dirait qu’il a très peur du patch d’électrostimulation fixé sur la pince.

La tête de Karine est maintenue droite par un collier cadenassé, ou plutôt une minerve en métal, limitant très fortement les mouvements de sa tête. Une corde de shibari enroulée dans son chignon tire ses cheveux et l’oblige, en plus de la minerve à garder la tête bien droite. Ses yeux couleur noisette si rieurs d’habitude, scrutent les murs de cette grande pièce aseptisée aux murs blancs.

Minerve BDSM de posture

Le seul décor de ces lieux, se résume en des tableaux exposant des attachées dans d’horribles et inconfortables positions. Ces images BDSM ne la rassurent pas, car l’une d’elles expose une fille entravée dans un pilori, les fesses à l’air, avec une flèche désignant son anus. Derrière elle, un homme monté comme un âne brandit une verge affolante.

Le mur du fond lui renvoie son image. Il est recouvert d’une immense glace sans tain, à travers laquelle, les clients d’un bar libertin peuvent l’observer à loisir, humiliée dans sa nudité et jouer avec les boutons quand le sadique en aura décidé. Karine sera l’attraction BDSM du soir, bien malgré elle.

Soudain, une petite décharge électrique d’électrostimulation titille son téton gauche avant de passer au droit. Une demie seconde plus tard, une autre décharge atteint le plug anal grand ouvert en sa rosette, qui par réflexe, se contracte sur les pales d’acier ouvertes. La pince fixée sur son clitoris reçoit à son tour une décharge la faisant bondir dans ses entraves. Les quatre patchs d’électrostimulation reçoivent chacun leur tour, maintenant d’autres décharges comme si une circonvolution électrique, faisait le tour de tous ses points sensibles.

Le pire pour Karine, est que malgré elle, sous les micro-décharges maintenant plus rapides, ses tétons commencent à émerger un peu plus et écartent donc les pinces, rendant leur morsure plus douloureuse. Son anus se contracte lui aussi plus vite sur le plug, juste avant que son clitoris l’a reçoive. La valse des sensations n’est pas à trois temps mais à quatre temps, puisqu’il y a quatre patchs, mais elle est maintenant endiablée tant les tours sont rapides.

Soudain, la machine à baiser s’anime lentement en son intimité naturellement mouillée, pour cause de trop de sollicitations en ses points si sensibles. Derrière la glace sans tain, les spectateurs n’ont d’yeux que pour elle mais elle ne peut les voir. La machine à baiser s’accélère d’un coup pour atteindre les 420 mouvements par minute et les décharges s’arrêtent. La respiration de Karine s’accélère sous l’infatigable pilonnage de sa tendre intimité, elle vacille et s’agite dans ses entraves, ce qui a pour effet d’animer les pinces posées sur ses tétons.

La valse des décharges électriques d’électrostimulation perverse repend, la machine à baiser ralentit un peu, à distance le sadique entretient la montée en plaisir sans le lui accorder, comme s’il jouait au chat et à la souris. Il varie maintenant sur l’intensité de l’électrostimulation et change de mode, ce sont de multiples décharges très rapides qui s’attaquent à ses tétons, son clitoris et son anus qui perd la tête dans les contractions sur le plug. Le public réclame la « mise à mort » de la soumise depuis un petite moment maintenant. Il leur accorde le spectacle d’une femme en crise de jouissances répétées, en poussant l’électrostimulation et la machine à baiser.

Karine se perd totalement, son cerveau n’arrive plus à se concentrer sur ses parties intimes cruellement titillées. Lorsque la machine à baiser atteint les 420 mouvements par minute, elle est littéralement terrassée par un orgasme fulgurant, avant de se mettre à hurler sa jouissance, elle qui est si discrète dans ces moments là.

Après quasiment deux minutes de jouissance non stop, le sadique lui accorde une pause. Karine est épuisée, haletante, trempée, un gros filet de bave coule lentement de sa bouche maintenue ouverte par le bâillon.

Comment en est-elle arrivée là ? C’est l’histoire d’une rencontre sur Fessestivites, elle rêvait en secret de s’abandonner à un Maître, qu’il lui fasse vivre des choses mais en la poussant un peu ou en la f o r ça n t un peu, comme pour l’aider à passer au-delà de sa morale et de sa timidité.

En tombant sur Le Sadique, elle va vivre bien plus qu’elle ne l’imaginait. Karine va totalement perdre la logique des choses et sa capacité à dire « non » à refuser quoi que ce soit, et il va la pousser très loin. Elle ne sera plus une femme mais une bête à plaisir, pour elle, pour lui, pour les autres, il va la rendre folle à lier.

Le Sadique termine son verre, la pause de la soumise est terminée, il va maintenant passer aux choses sérieuses avant de la livrer en pâture --> à sa façon.

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